Florence Lawless-Lacroix, Quand Grand-Mère était jeune, 1999, 400 pages.
C'est une véritable mine d'or pour ceux qui s'intéressent à la petite histoire de Grand-Mère : 400 pages remplies d'anecdotes et un bon millier de photos. Quand Grand-Mère était jeune a été écrit par Florence Lawless -Lacroix qui est née dans cette ville en 1920. Il est ici question de la jeunesse de la ville mais aussi de celle de l'auteure qui parle abondamment de sa famille et de ses amis.
La recherche dans ce livre publié en 1999 exige une bonne dose de patience. Il n'y a pas d'index et l'auteure présente les familles dans un désordre alphabétique.
C'est une véritable mine d'or pour ceux qui s'intéressent à la petite histoire de Grand-Mère : 400 pages remplies d'anecdotes et un bon millier de photos. Quand Grand-Mère était jeune a été écrit par Florence Lawless -Lacroix qui est née dans cette ville en 1920. Il est ici question de la jeunesse de la ville mais aussi de celle de l'auteure qui parle abondamment de sa famille et de ses amis.
La recherche dans ce livre publié en 1999 exige une bonne dose de patience. Il n'y a pas d'index et l'auteure présente les familles dans un désordre alphabétique.
J'y ai trouvé des renseignements sur la famille du cordonnier Edmond Lacombe sur laquelle j'ai déjà blogué dans Les femmes du cordonnier Lacombe. En fait, je m'étais davantage intéressé à ses épouses, Dagneur Gélinas et Fridoline Blais, qu'à lui-même.
À la page 358 de son livre Florence Lawless-Lacroix écrit :
À la page 358 de son livre Florence Lawless-Lacroix écrit :
Quand monsieur Edmond Lacombe, ancien maire de Saint-Mathieu, déménagea à Grand-Mère, ce n'est pas un, mais cinq cordonniers qui arrivèrent en notre ville. En suivant son exemple, quatre de ses fils pratiquaient également ce métier. (...) La famille Lacombe s'est d'abord installée en haut de la côte à Grondin sur la rue Sainte-Catherine. De leur fenêtre, la vue était magnifique,découvrant la partie basse de la ville, la rivière Saint-Maurice et des boisés à perte de vue, mais en 1912, cette maison dû être déménagée de ce site privilégié afin de céder sa place au Rocher de Grand-Mère pour lequel on trouvait cet endroit idéal.
Alfred Lacombe est celui des fils d'Edmond qui garda sa cordonnerie en opération le plus longtemps. Celle-ci, située au coin 9e rue et 6e avenue, resta en service jusqu'en 1950, alors qu'elle fut transformée en magasin d'articles de sport. (...)
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