« Il n’y a qu’aux Trois-Rivières où la vitesse des automobiles soit de 20 à 25 milles à l’heure dans nos principales rues. Vraiment l’on dirait que ceux qui sont chargés de faire observer nos règlements ne s’en occupent pas. Attendons qu’il se soit produit de graves accidents pour mettre un frein à ces courses folles dans nos rues. »
Tiré de : Bases de données en histoire régionale de la Mauricie du Centre interuniversitaire d'études québécoises.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire