Aux XVIIIe et XIXe siècles, les unions « à la façon du pays » entre un coureur des bois français ou canadien français et une Amérindienne n'ont jamais été officialisées. Y-avait-il des rites, un cérémonial ? Chose certaine, elles n'ont été inscrites dans aucun registre paroissial.
Ces unions étaient tolérées, par nécessité, parce qu'il n'y avait pas de prêtre sur place pour les célébrer, mais elles ne comptaient pas pour l'Église catholique. Plusieurs coureurs des bois ont pu se marier religieusement après avoir vécu et même avoir eu des enfants dans l'Ouest avec une Amérindienne « à la façon du pays». Elles ne comptaient pas non plus pour les Américains. Par exemple, le fameux Kit Carson a pu se marier religieusement avec une très jeune Espagnole après que son épouse cheyenne l'eût quitté pour retourner vivre parmi les siens.
Ces unions étaient tolérées, par nécessité, parce qu'il n'y avait pas de prêtre sur place pour les célébrer, mais elles ne comptaient pas pour l'Église catholique. Plusieurs coureurs des bois ont pu se marier religieusement après avoir vécu et même avoir eu des enfants dans l'Ouest avec une Amérindienne « à la façon du pays». Elles ne comptaient pas non plus pour les Américains. Par exemple, le fameux Kit Carson a pu se marier religieusement avec une très jeune Espagnole après que son épouse cheyenne l'eût quitté pour retourner vivre parmi les siens.
C'est ce qui rend la recherche généalogique si difficile pour les Métis. Dans l'Ouest canadien et dans le Midwest américain, des centaines, sinon des milliers d'enfants métis francophones sont nés de ces unions « à la façon du pays ».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire